Les victimes d'infractions pénales
La naissance de la victimologie repose sur l’intérêt porté aux victimes d’infractions pénales. Il existe une différence entre les infractions « réactives » et « pro actives ». Lorsqu’une victime porte plainte, la police ou la gendarmerie constate et enregistre l’infraction qui est dite « réactive ». Lorsqu’aucune plainte n’est déposée et que la police ou la gendarmerie recherche et constate l’infraction, cette dernière est dite « pro-active ».
Aussi, le législateur a reconnu l’importance de ces victimes en créant, en 1983, la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (CIVI).
Les infractions sont généralement classées en trois catégories :
-les atteintes aux personnes ( atteintes à la vie et à l'intégrité de la personne)
- les victimes de vol,
-les victimes d’infractions économiques et financières ( escroquerie, abus de confiance, blanchiment illicite)
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